AOP
Languedoc - Pézenas
Languedoc -
Pézenas

Triangle « magique » !

Bienvenue au cœur de l’Hérault sur le territoire d’une appellation qui bouge.
Loin d’être monolithique, c’est sa diversité qui fait sa force !

naissance

2007

territoire

15

communes

taille

2000 HA

en production

population

40 caves particulières

4 coopératives

couleurs

rouge

100%

cépages
autorisés pour le rouge

syrah

grenache

mourvèdre

carignan

cinsault

plus d'infos :  

www.pezenasenlanguedoc.com

terroir et vins

La diversité est l’un des mots clefs de cette AOC, avec des altitudes de 20 à 300 mètres, et une géologie qui révèle des schistes, des cailloutis, des calcaires, des grès mais aussi des formations basaltiques. Cette variété de terroirs pourrait, se dit-on, peut-être nuire à l’homogénéité de l’appellation et des vins… Elle est pourtant un atout puisqu’elle permet aux vigneron(ne)s de s’adapter au caractère spécifique de chaque millésime. Aujourd’hui, une quarantaine de domaines en caves particulières et quatre coopératives oeuvrent à porter le terroir de Pézenas sur le devant de la scène languedocienne.

A des propriétés presque séculaires et historiques s’ajoutent des domaines plus récents, repris ou créées par des locaux ou par des néo-vignerons venus d’ailleurs. Si certains restent assez confidentiels, d’autres peuvent se flatter d’une réputation qui dépasse même les frontières de l’Hexagone. A l’image d’une appellation dont les vins sont de plus en plus courus par les sommeliers et les amateurs.

histoire

Outre ces terroirs au grand potentiel, ce sont aussi les femmes et les hommes qui font le dynamisme de ce coin-là du Languedoc où la présence de la vigne est attestée dès le 7e siècle avant Jésus-Christ. Il s’en est passé des choses en quelques 27 siècles, le développement du vignoble sous l’empire romain, le relais pris par les ordres monastiques dès le 4e siècle, l’apparition des grands domaines dès la fin du Moyen-Age, l’essor encore spectaculaire du vignoble au 19e siècle, durant laquelle la vigne parvient à occuper jusqu’à près de 80 % des terres cultivables, puis le funeste épisode phylloxérique dont le pays se releva à force de replantations massives.